Yohann Charpentier-Tity Mercredi 02 juillet 2014
Selon le ministre de l'Éducation, « le droit à l'erreur n'est pas tout à fait reconnu » , c'est-à-dire que l'enfant n'a pas la possibilité d'analyser ses progrès.

Benoît Hamon, ministre de l'Éducation nationale, a lancé mardi, une conférence nationale sur l'évaluation des élèves. Cette consultation doit s'étendre jusqu'en décembre, et aboutir à une réforme du système de notation applicable dès 2015. Le retour d'un sujet auquel d'autres se sont attaqués avant lui...en vain.


Lors d'un entretien accordé au Parisien, le ministre de l'Éducation annonce sa volonté de « lancer une réflexion pour une nouvelle évaluation au service de l'apprentissage et des progrès des élèves » . Étonnant toutefois que cette réflexion, qui semble nécessaire, débute au moment des vacances. Même si les conclusions de cette consultation ne seront connues qu'en décembre, les mois de juillet et août pourraient, en quelque sorte, enterrer le débat.  (...).

 

Auteur de l'article original: Yohann Charpentier-Tity
Source: France - Antilles
Date de publication (dans la source mentionnée): Vendredi, 4. Juillet 2014
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