L'association Calinsoins, qui sera présente au salon Autonomic à Toulouse les 23 et 24 mars à Toulouse, propose de la thérapie par médiation animale...

Des lapins, des furets, des chiens ou des oiseaux pour stimuler et éveiller les personnes en situation de handicap. L’association Câlinsoins, créée à Fonsorbes il y a six ans, sera présente au salon Autonomic les 23 et 24 mars au Parc des expositions de Toulouse pour présenter la thérapie par la médiation animale, une technique encore peu connue du grand public.
A chacun son binôme
L’association, qui travaille avec une centaine d’animaux, intervient auprès des enfants ayant des troubles du comportement, des personnes âgées et des personnes avec des handicap de tout type. Les séances dans ces structures spécialisées ou dans les locaux de l’association durent une heure.
« Nous avons beaucoup d’animaux différents pour permettre à chacun de trouver son binôme, de réagir de manière à l’apaiser ou le faire travailler, explique Dominique Villard, la présidente de Câlinsoins. Mettre un lapin dans les mains d’une personne paralysée peut le détendre et stimuler sa motricité en le caressant. Ou une personne qui a du mal avec son équilibre va mieux marcher en promenant un chien ».

Des lapins, des furets, des chiens ou des oiseaux pour stimuler et éveiller les personnes en situation de handicap. L’association Câlinsoins, créée à Fonsorbes il y a six ans, sera présente au salon Autonomic les 23 et 24 mars au Parc des expositions de Toulouse pour présenter la thérapie par la médiation animale, une technique encore peu connue du grand public.
A chacun son binôme
L’association, qui travaille avec une centaine d’animaux, intervient auprès des enfants ayant des troubles du comportement, des personnes âgées et des personnes avec des handicap de tout type. Les séances dans ces structures spécialisées ou dans les locaux de l’association durent une heure.
« Nous avons beaucoup d’animaux différents pour permettre à chacun de trouver son binôme, de réagir de manière à l’apaiser ou le faire travailler, explique Dominique Villard, la présidente de Câlinsoins. Mettre un lapin dans les mains d’une personne paralysée peut le détendre et stimuler sa motricité en le caressant. Ou une personne qui a du mal avec son équilibre va mieux marcher en promenant un chien ».

Le contact avec l’animal favorise la diminution de la solitude, incite à parler, rire, diminue la peur et les angoisses, favorise la rééducation des patients en stimulant la mémoire, la motricité et le sensoriel. L’animal est choisi selon le handicap de la personne et les séances sont sous la responsabilité d’une « zoothérapeute », formée à cette technique.  (...)
 

Auteur de l'article original: Julie Rimbert
Source: 20 Minutes
Date de publication (dans la source mentionnée): Lundi, 20. Mars 2017
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