Sclérose en plaques: Les dernières avancées permettraient d'avoir une vie plus normale
- 794 lectures
De nouvelles recherches pourraient permettre de bloquer l'évolution de la maladie...
Peu de maladies suscitent autant de peur que la sclérose en plaques (SEP). Pour beaucoup, c’est une maladie rare qui bouleverse le quotidien des patients. « Le grand public n’imagine pas que la SEP est une maladie répandue, elle touche pourtant 100.000 personnes en France, soit environ une personne sur mille. Tout le monde aujourd’hui connaît quelqu’un qui a la SEP », souligne le Pr Thibault Moreau, chef du service de neurologie au CHU de Dijon et président du Comité médico-scientifique de l’Arsep, la Fondation pour l’aide à la recherche sur la sclérose en plaques. Mais s’il était possible de vaincre la maladie ? A l’occasion de la Journée mondiale de la SEP ce mercredi, 20 Minutes s’intéresse aux dernières avancées qui pourraient un jour permettre aux malades de mener une vie la plus normale possible.
Peu de maladies suscitent autant de peur que la sclérose en plaques (SEP). Pour beaucoup, c’est une maladie rare qui bouleverse le quotidien des patients. « Le grand public n’imagine pas que la SEP est une maladie répandue, elle touche pourtant 100.000 personnes en France, soit environ une personne sur mille. Tout le monde aujourd’hui connaît quelqu’un qui a la SEP », souligne le Pr Thibault Moreau, chef du service de neurologie au CHU de Dijon et président du Comité médico-scientifique de l’Arsep, la Fondation pour l’aide à la recherche sur la sclérose en plaques. Mais s’il était possible de vaincre la maladie ? A l’occasion de la Journée mondiale de la SEP ce mercredi, 20 Minutes s’intéresse aux dernières avancées qui pourraient un jour permettre aux malades de mener une vie la plus normale possible.
Une maladie de la femme jeune
Si personne n’en est à l’abri, « la SEP est de plus en plus une maladie de la femme jeune. Elle touche trois fois plus les femmes que les hommes et dans les deux tiers des cas, elle se déclare entre 20 et 35 ans, entraînant de nombreux retentissements sociaux et professionnels sur le quotidien des patients », poursuit le neurologue.
(...)