Cancer : le malade est une personne
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Antoine Spire, Mano Siri
« De la prévention à l’approche de la mort éventuelle, en passant par le dépistage, l’annonce de la maladie et par les traitements et leurs effets, c’est sur la place du malade que nous nous interrogeons et, de son point de vue, sur l’ensemble de la clinique et des thérapeutiques.
Cet ouvrage plaide pour une nouvelle impulsion du travail en sciences humaines articulé avec la médecine la plus performante. Les malades du cancer en ont besoin. Ils y ont droit. Il ne s’agit pas d’un supplément humaniste à la médecine, mais d’une révolution dans la réflexion et la pratique des équipes de cancérologie invitées à retourner à la clinique, à l’art médical individualisé, sans rien perdre de ses avancées technologiques. » A. S. et M. S.
« De la prévention à l’approche de la mort éventuelle, en passant par le dépistage, l’annonce de la maladie et par les traitements et leurs effets, c’est sur la place du malade que nous nous interrogeons et, de son point de vue, sur l’ensemble de la clinique et des thérapeutiques.
Cet ouvrage plaide pour une nouvelle impulsion du travail en sciences humaines articulé avec la médecine la plus performante. Les malades du cancer en ont besoin. Ils y ont droit. Il ne s’agit pas d’un supplément humaniste à la médecine, mais d’une révolution dans la réflexion et la pratique des équipes de cancérologie invitées à retourner à la clinique, à l’art médical individualisé, sans rien perdre de ses avancées technologiques. » A. S. et M. S.
Antoine Spire est journaliste. Longtemps producteur à France Culture, il anime aujourd’hui l’émission télévisée « Tambour battant » et est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment Dieu aime-t-il les malades ?, écrit avec Nicolas Martin, qui a reçu le prix 2005 du MEDEC. Il a été directeur du département de recherches en sciences humaines de l’Institut national du cancer, de sa création en 2005 jusqu’à fin 2007.
Mano Siri est philosophe et scénariste (Le Blues de l’Orient). Elle a notamment été membre de l'équipe de recherche en sciences humaines de l'Institut national du cancer et enseignante à l'Université ouverte de Paris-VII.
Source : Odile Jacob